L'Atelier
Immersion digitale dans notre processus de fabrication
Situé juste au dessus de la boutique, notre atelier est le coeur battant de notre Maison. Et quand on dit « battant » ce n’est pas au hasard, il résonne du matin au soir ! Les coups de maillet, le souffle soutenu du chalumeau, les scies et les ponces qui montent et descendent inlassablement, et les rouages bien graissés de la polisseuse…comme dans tous les ateliers. Qu’y a t’il donc de si spécial dans cet atelier la…?!
*La capacité de vous satisfaire à 360°. Tant côté matériel, que du côté savoir faire des joailliers. Nous couvrons tout ce que l’on pourrait vouloir réaliser techniquement.
*La réactivité, l’intensité et la continuité dont vous pouvez bénéficier en ayant un atelier – complet – sur place. Vos idées, et votre bijoux ne sont pas en transit entre le bureau du créateur, l’atelier à qui il confie la fabrication, le bureau du diamantaire chez qui il cherche la bonne vibrance ou la bonne dimension de pierre, celui où il donne le sertissage et/ou les finitions. Tous ces corps de métiers sont de vrais métiers qui sont traditionnellement séparés. (Sauf pour les grandes maisons, qui pour leur part, créent des lignes produites en de nombreux exemplaires, et par conséquent, ne sont pas adaptées à des projets uniques).
*De véritables joailliers: C’est pour continuer à « faire » les mains des joailliers de notre équipe que nous refusons de fabriquer pour d’autres le même produit à la chaîne. Ainsi au fil du temps, nos joailliers restent pointus, habiles et non formatés dans le traitement de vos demandes.
*L’exigence de Jean-Jacques Bonnet qui imprègne les lieux. Celle de la haute joaillerie, celle du bon sens artisanal, celle de 30 ans d’expérience, celle du détail souvent invisible pour les clients eux mêmes, et qui pourtant fait inconsciemment la différence. L’exigence des bijoux aussi bien faits de l’extérieur, qu’à l’intérieur. Cette même exigence pour les projets d’envergure, et pour les incontournables basiques. Une exigence qui est devenue le mantra, la recette, la signature de la Maison.
En espérant vous avoir donné suffisamment confiance, nous espérons que vous viendrez vérifier tout cela par vous mêmes!
Action du joaillier qui aplani du métal à l'aide d'un maillet ainsi que d'un "tas" en acier.
Fonte d'or au chalumeau pour réaliser un petit lingotin.
Action du laminoir pour diminuer l'épaisseur d'un plané de métal.
Ensemble de différents outillages,
Filières, Triboulets, Boutroles acier et bois, Bigorne.
Comme des archives, ces différents moules servent à reproduire une pièce en cire verte pour réaliser ensuite une " fonte à cire perdue ".
Ensemble de différentes pinces toutes adaptées à différentes façons de mettre en forme des fils d'or ou tout autre métal malléable.
La cheville est ce morceau de bois sur lequel travaillent les joailliers. On dit qu'il est "à la cheville".
Toutes différentes car elles sont façonnées au fur et à mesure du travail du joaillier et de ses habitudes. Chacun a la sienne.
Conception de bijoux assistée par ordinateur.
Fonte d'or pour réaliser un lingotin.
L'une de nos joaillières, à son établi dans notre atelier au 14 Place notre Dame - Annecy.
Ensemble de petits outils confectionnés par une de nos joaillières pour faire briller vos bijoux jusque dans les plus petits recoins.
Jean-Jacques Bonnet en train "d'emboutir" un plané d'or pour réaliser l'une de ses futures pièces.
Un baguier qui sert a prendre la taille de vos doigts.
L'action des marteaux sur les différents "triboulets" sert à mettre ou remettre en forme un corps de bague.
Le polissage des pièces.
C'est souvent la dernière étape mais pas la moindre.
C'est même un métier à part entière en Haute-Joaillerie, tout comme les sertisseur lapidaires diamantaires.
Les joailliers utilisent des limes et des "cabrons" de grains de plus en plus petits, pour affiner au maximum la surface de l'or avant de passer au polissage.
Les métaux comme l'or et l'argent se travaillent à froid mais pour cela, il est nécessaire de "recuire" son métal.
Cette manipulation s'effectue en chauffant doucement à rouge sa pièce, à l'aide d'un chalumeau.
Fonte d'or dans une petite "lingotière".
L'une de étapes finales consiste à apposer des poinçons.
Il en existe une multitude mais deux sont obligatoires.
Le "poinçon de maître" inscrit dans un losange identifie le fabricant, le poinçons de garantie du titrage de l'alliage utilisé.
Dernier coup de polissage d'une bague avant d'être placée dans son écrin.
" Recuit " d'une de nos créations avant qu'elle soit sertie par notre sertisseur.
Le "bocfil" dans lequel on insert des scies de différentes sections.